La possibilité d’aller à Cuba cet été est assez mince. Difficile de partir, plus difficile encore d’arriver. Qu’à cela ne tienne, de nombreuses expos d’art et d’architecture sont sur le chemin de vos vacances en Europe.
En attendant de fouler à nouveau les coursives de l’aéroport José Martí…
Puisque l’art permet de voyager dans son fauteuil et que l’économie cubaine est en pleine transfiguration, c’est le moment de se pencher sur les mystères du marché de l’art cubain.
Le 14 août 1970 paraissait à Cuba le premier épisode des aventures d’un paysan mambí nommé Elpidio Valdés. Cinquante ans plus tard, qu’en est-il de ce héros qui a traversé l’Histoire contemporaine sain et sauf, sans perdre sa popularité ?
Afro-cubain : « Se dit, à Cuba, de quelqu’un dont les ancêtres sont originaires d’Afrique noire ». C’est Larousse qui le dit. Ajoutez « Culture » et surgissent des éléments historiques, religieux, musicaux, de langage et même de politique, qui vont enrichir le terme.
Fin du confinement mais pas de l’isolement : on n’est pas près de fouler à nouveau l’aéroport José Marti, ni le Museo de Bellas Artes de La Havane… Alors voyons ce qu’internet nous propose pour soigner notre nostalgie cubaine :
Cuba ce n’est pas que la salsa, la playa et les T-shirts de Che Guevara. Serendipia propose un regard neuf sur la société cubaine et la création artistique contemporaine.