Luis Manuel Otero Alcántara : style fashion, conscient de son charme, ongles peints ou chemise à fleurs, coiffure afro… un Cubain bien de son temps en somme ? Mais surtout un regard défiant et joyeux à la fois, reflet d’un rapport au monde qui lui vaudra bien des ennuis.
Nous sommes tous – des enfants d’immigrés – première, deuxième, troisième génération ! Vous vous souvenez de ce slogan ? L’adaptation cubaine donnerait à peu près ça : Nous sommes tous – des enfants de héros – première, deuxième, troisième génération !
Me voooooooyyyyyyyyy, pa’ mi casa !En un couplet, Cimafunk a conquis le monde. Il est même aujourd’hui le héros d’un documentaire qui trace le portrait de ce surdoué sympathique et talentueux.
1959 : la fondation de l’nstituto Cubano del Arte y Industria Cinematográficos, plus connu sous le nom de ICAIC, est l’un des premiers gestes du nouveau gouvernement de Cuba.
Débarquant dans le Nord sous un soleil éclatant pour visiter l’expo Ola Cuba, on pourrait imaginer que ce n’est pas l’île des Caraïbes qui s’est transportée à Lille, mais bien la capitale des Flandres qui s’est installée à La Havane
Cuba ce n’est pas que la salsa, la playa et les T-shirts de Che Guevara. Serendipia propose un regard neuf sur la société cubaine et la création artistique contemporaine.