Le documentaire débute là où le train s’arrête : à Falla. À Falla il n’y a rien. Pas de route, pas de maisons en dur, pas de matériaux de construction ni d’argent pour en acheter, pas de films dans la maison de la culture, pas d’argent pour y réparer les portes
Jorge Perugorría, le plus international des acteurs cubains, assume désormais la présidence du Festival del Cine Pobre de Gibara. Créé par Humberto Solás en 2003 dans l’intention de valoriser les possibilités du numérique pour tourner sans argent (ou presque)
Positifs tous les deux ! l’un aux tests de dopage, l’autre au VIH. Comment cela est-il arrivé ? El Acompañante, qui commence avec la rencontre de Daniel et Horacio et éclaire en flash back leur passé d’enfants méritants de la Révolution
New York : la métropole très latino, très cinéphile et plus encore en avril. Car c’est le retour du Havana Film Festival in New York qui rassemble chaque année les amoureux de la cinématographie Latino Américaine ! Une production foisonnante qui ne trouve pas toujours les réseaux de distribution idoines…
2012, hall de l’ICAIC, devant le programme de la Cinémathèque : Un monsieur m’aborde pour lier conversation. Il connaît sa Nouvelle Vague sur le bout des doigts et ne rate pas une sortie de film. – Pourquoi ? – « Ce sont les seuls voyages que j’aie jamais fait ».
Cuba ce n’est pas que la salsa, la playa et les T-shirts de Che Guevara. Serendipia propose un regard neuf sur la société cubaine et la création artistique contemporaine.