Archives par mot-clé : commerce

Clandestina 99% design cubano : de l’air, de l’art !

La Habana Vieja : Vous êtes lassé des casquettes à l’effigie de l’icône et des sacs en pépins de pastèque qui, dans une tentative désespérée pour gagner sa vie avec trois fois rien, débordent de tous les rez de chaussée ? Vous allez respirer un grand coup lorsque vous tomberez sur Clandestina, le concept store à la Cubaine Continuer la lecture de Clandestina 99% design cubano : de l’air, de l’art !

17 décembre 2015 : Je t’écris cette lettre…

Cher ami,

Tu t’en souviens bien sûr : le 17 décembre dernier nos présidents respectifs se sont téléphoné. Et bien un an après, jour pour jour, je prends la plume pour t’écrire. J’espère que ma lettre ne mettra pas 8 semaines à te parvenir,  comme la dernière fois où elle était passée par le Mexique, la Jamaïque ou le Canada Continuer la lecture de 17 décembre 2015 : Je t’écris cette lettre…

Notre argent à La Havane

Deux monnaies coexistent à Cuba : le CUP alias Peso alias Moneda Nacional et le CUC (prononcer cé-ou-cé) alias Divisa alias dólar (pluriel dólares) ou encore Peso convertible. Rendez-vous à la page CUP & CUC pour comprendre l’origine et réviser les principes.

Et maintenant attaquons le vif su sujet : que faire et avec quelle monnaie à La Havane ? Continuer la lecture de Notre argent à La Havane

Signos : Art, industrie et vice-versa

Insoupçonnables depuis l’étroite vitrine sur rue, les énormes espaces de la Factoria Habana offrent une déambulation à la rencontre des plans et maquettes, meubles et vaisselle,  photographies, revues, textiles, films et toutes sortes d’objets dans lesquels on peut lire la connexion art/industrie, au travers du design.

Pour certains, on peut y relire aussi une époque Continuer la lecture de Signos : Art, industrie et vice-versa

Le Sloppy Joe’s, Pedro Juan et moi

Mélancolie ? On annonçait depuis des années la réouverture du Sloppy Joe’s, c’est chose faite. Et pourtant, il se trouve des observateurs pour trouver que ce n’est plus comme avant…

Et d’autres comme Pedro Juan Gutiérrez pour s’en foutre royalement¹. Continuer la lecture de Le Sloppy Joe’s, Pedro Juan et moi