Archives par mot-clé : architecture

Santiago de Cuba : Vista Alegre, étranges horizons

Avenida Manduley : cette large voie qui descend en pente douce vers les limites de la ville, avec la Sierra Maestra en toile de fond, est devenue l’artère culturelle de Santiago. Très à l’écart du centre colonial qui, lui, descend en pente raide vers le port. Continuer la lecture de Santiago de Cuba : Vista Alegre, étranges horizons

Ciné-Teatro Oriente : avec le temps…

Vestige urbain : de l’énorme Ciné-Teatro Oriente il ne reste que la carcasse échouée au bas de la calle Enramadas, légèrement à l’écart des quelques pâtés de maisons fréquentés par les touristes.

C’est dans cet état que je l’ai découvert en 2012 et revisité à plusieurs occasions. Une carcasse en effet Continuer la lecture de Ciné-Teatro Oriente : avec le temps…

L’école qui danse en solo

Aussi tournoyante que les voiles de Loïe Fuller, aussi aérienne qu’une improvisation d’Odile Duboc sur l’air et l’eau, aussi structurée qu’une chronophotographie d’Edweard Muybridge,  l’école attend patiemment depuis plus de 50 ans qu’on veuille bien y danser.

À la voir on a envie de crier « Cédez-la à Carlos Acosta, faites-en un hôtel,  un campus, un spa ou un ministère, ou pourquoi pas, tiens, une école d’architecture ?  Mais redonnez-lui vie, bordel ! » Continuer la lecture de L’école qui danse en solo

Signos : Art, industrie et vice-versa

Insoupçonnables depuis l’étroite vitrine sur rue, les énormes espaces de la Factoria Habana offrent une déambulation à la rencontre des plans et maquettes, meubles et vaisselle,  photographies, revues, textiles, films et toutes sortes d’objets dans lesquels on peut lire la connexion art/industrie, au travers du design.

Pour certains, on peut y relire aussi une époque Continuer la lecture de Signos : Art, industrie et vice-versa

Le Sloppy Joe’s, Pedro Juan et moi

Mélancolie ? On annonçait depuis des années la réouverture du Sloppy Joe’s, c’est chose faite. Et pourtant, il se trouve des observateurs pour trouver que ce n’est plus comme avant…

Et d’autres comme Pedro Juan Gutiérrez pour s’en foutre royalement¹. Continuer la lecture de Le Sloppy Joe’s, Pedro Juan et moi